Le Medina MGallery : l’hôtel qui a vibré au rythme du Gnaoua
À l’occasion de la 26ème édition du Festival Gnaoua et Musiques du Monde, l’hôtel Le Medina MGallery d’Essaouira, dirigé par M.Tarik Kerdoudi, s’est transformé en véritable acteur culturel, bien au-delà de son rôle traditionnel d’établissement hôtelier.
« Cette année, l’établissement s’est engagé pleinement dans la célébration de la musique et des traditions Gnaoua », a confié Tarik Kerdoudi. Ce pari a été tenu : tout au long du festival, des mini-performances acoustiques gnaoua ont animé le patio, le lobby et le rooftop, offrant aux visiteurs des instants de proximité rares et émouvants avec les artistes.
L’immersion s’est également prolongée dans l’assiette, avec un atelier culinaire “Gnaoua revisitée”, coanimé par le chef de l’hôtel et une « mama souirie », figure locale de la cuisine traditionnelle. Ensemble, ils ont transmis des savoirs culinaires ancestraux, mêlant mémoire et modernité.
Un podcast en direct, organisé dans le lobby, a invité professionnels et festivaliers à réfléchir autour du thème : « L’hospitalité marocaine face au tourisme culturel ». Une conversation stimulante, révélatrice des enjeux contemporains du secteur, a ponctué cette programmation ambitieuse.
L’hôtel a aussi donné carte blanche à un photographe marocain pour une exposition temporaire consacrée aux artistes Gnaoua, habillant les murs de portraits saisissants et de scènes rituelles.
Pour prolonger l’expérience au-delà du séjour, chaque client a pu repartir avec une playlist exclusive “MGallery × Gnaoua”, accessible via QR code, conçue pour raviver l’esprit du festival chez soi.
Le temps fort de cette programmation a été la soirée du vendredi 20 juin, organisée avec le soutien d’Accor. Une célébration chaleureuse et fédératrice où musique, gastronomie et convivialité ont honoré la tradition gnaoua dans un écrin contemporain.
« Avec cette édition 2025, l’hôtel s’est affirmé comme un acteur engagé du rayonnement culturel d’Essaouira, en faisant de l’hospitalité une forme d’expression artistique à part entière », a conclu Tarik Kerdoudi.
