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Orient Express : la nouvelle révélation du groupe Accor

C’est l’histoire d’un train né d’un rêve, qui défie le temps. À l’occasion de la semaine de l’art contemporain à Paris, Orient Express, à travers le groupe Accor, se dévoile en exclusivité du 17 au 21 octobre 2022, dans un établissement exclusif du 7e arrondissement de Paris : un train de légende disparu, le Nostalgie-Istanbul-Orient-Express, et réimaginé aujourd’hui par Maxime d’Angeac et les meilleurs artisans de France. Dès 2024, à l’occasion des jeux olympiques de Paris, les premières voitures seront exposées et les voyageurs pourront accéder pour la première fois à bord. « Nous sommes fiers, aujourdhui, de révéler les premières images du futur train Orient Express. Une histoire inspirée dun rêve, un train classé hors du temps, objet de tous les fantasmes et qui devient réalité. Le design de Maxime dAngeac réveille le mythe avec la révélation de son écrin de luxe, de modernité, et d’élégance à la française. Demain, lOrient Express rayonnera à nouveau, légitime de ses 140 années dhistoire et tourné vers lavenir. La légende continue », a déclaré Sébastien Bazin, président et directeur général du groupe Accor.

Sous de larges coupoles de lumière au style second empire, chacune portée par quatre colonnes, les salons intimes de la voiture-bar dévoilent leur tonalité au vert spectaculaire. Pièce maîtresse, le bar s’offre un comptoir tout verre en hommage à Lalique, autour d’une œuvre moderne qui revisite les symboles de la maison. À chaque table, une pendule sonne l’heure du cocktail et du dîner. De son côté, la voiture-restaurant du futur Orient Express réinterprète les codes du train de légende. Maxime d’Angeac réinterprète le motif « rail », détourné sur les cloisons grâce au carton-pierre.

Sous un plafond miroité, traversé d’une série d’arches reflétant une douce lumière tamisée, tables nappées et fauteuils enrobants s’alignent, éclairés des lampes à abat-jour revisitant les modèles originels. Un salon privé fait revivre les panneaux de marqueterie originaux du train. Au fond, derrière une paroi de verre, s’ouvre la cuisine.

Au niveau des suites, les cloisons se couvrent de bois précieux et d’un cuir mural qui réinterprète le célèbre motif « rail » de Suzanne Lalique. Les têtes de lit se couvrent de broderies de bois insérant perles de nacre et bronze. Une moquette « comète » invite à la rêverie. Des niches se parent des panneaux Lalique « Merles et Raisins » originaux, ceux récupérés dans les voitures du Nostalgie-Istanbul-Orient-Express. Les tablettes en ellipse font se poser journaux, objets et souvenirs de voyage. Porte-bouteilles et verres trouvent d’astucieux agencements.

© Maxime d’Angeac

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